Homère

• son existence historique n’est pas avérée mais on lui attribue l’Iliade et l’Odyssée, les deux premières oeuvres de la littérature occidentale.
• la tradition le décrit comme aveugle (caractéristique fréquente des poètes grecs) et originaire d’une ville d’Ionie
• L’iliade et l’Odyssée lui sont attribuées depuis le VIème siècle av JC

Kouros

• D’influence égyptienne, les Kouroi sont pratiquement toujours debout avec les bras sur le côté et les poings serrés, bien que quelques uns aient un bras tendu pour tenir une offrande.
• Ils ont toujours la jambe gauche légèrement en arrière. Cette pose était également répandue dans la statuaire égyptienne.
• Les Kouroi sont toujours nus, portant tout au plus une ceinture et parfois des bottes. Leurs visages montre l’influence culturelle de la Crète : ils portent des cheveux longs tressés ou ornés de perles à la mode crétoise et leurs yeux ont parfois l’aspect égyptien typique, qu’a copié l’art crétois.
• Les Kouroi moins anciens montrent des poses plus naturelles et leur coiffure devient plus typique de la Grèce. Les Kouroi représentaient toujours des jeunes hommes, de l’adolescence au début de l’âge adulte.
• Dans les cimetières, ils montraient le défunt comme le type idéal de la masculinité.

Homère

Poète grec du VIIIè av JC
• son existence historique n’est pas avérée mais on lui attribue l’Iliade et l’Odyssée, les deux premières oeuvres de la littérature occidentale.
• la tradition le décrit comme aveugle (caractéristique fréquente des poètes grecs) et originaire d’une ville d’Ionie
• L’iliade et l’Odyssée lui sont attribuées depuis le VIème siècle av JC

Bataille des Thermopyles

Battus par les Grecs à Marathon, les Perses le sont une deuxième fois à Salamine, dix ans plus tard, le 22 septembre de l’an 480 avant JC
• Le «Rois des Rois» Xerxès a traversé avec son immense armée le détroit qui sépare l’Asie de l’Europe. Dans le défilé des Thermopyles, 300 Spartiates, sous le commandement de Léonidas, se font tuer jusqu’au dernier pour donner aux autres Grecs le temps de se préparer à la guerre.
• Face aux Perses, la Grèce semble défaite. Mais c’est compter sans Thémistocle. Chef d’Athènes, il a fait construire une flotte de guerre et entend s’en servir. À l’approche des Perses, Thémistocle convainc les Athéniens d’abandonner leur ville. Femmes et enfants se réfugient dans la ville voisine tandis que les hommes embarquent sur les navires.
• L’armée perse brûle Athènes cependant que la flotte de Xerxès, forte d’un millier de navires, mouille non loin de là. Les 380 navires athéniens se tiennent à l’affût dans le détroit qui sépare l’Attique de l’île de Salamine.. Thémistocle envoie son esclave auprès de Xerxès. Se faisant passer pour traître, l’esclave assure que les Grecs se disposent à fuir.
•  La flotte perse se déploie à l’entrée du détroit pour cueillir les fuyards mais au petit matin, la flotte athénienne, nullement impressionnée, se rue sur elle. Alors s’engage pour Athènes le combat de la dernière chance : «Allez, enfants des Grecs, délivrez vos enfants et vos femmes, les sanctuaires des dieux de vos pères et les tombeaux de vos aïeux : c’est la lutte suprême !» (Eschyle – Les Perses).
• Après la déconfiture de sa flotte, Xerxès se hâte de rejoindre l’Asie.

Bataille de Marathon

Les Athéniens repoussent à Marathon une tentative d’invasion des perses.
Selon la tradition, un messager dénommé Philippidès court annoncer la victoire aux habitants d’Athènes. Il meurt d’épuisement à l’arrivée, après 4 heures de course, en prononçant le mot : «Nenikamen» («Nous avons gagné»). Son souvenir est à l’origine de l’épreuve la plus prestigieuse des Jeux Olympiques de l’ère moderne, le marathon, une course de 42,195 km (cette distance a été fixée définitivement lors des Jeux de Londres en 1908).

Alfred AGACHE

• Issu d’une famille de riches industriels du textile lillois mais plus intéressé par la musique que par l’industrie
• Au retour d’un voyage de plus d’un an, de 1872 à 1874, qui le mène en Egypte, en Inde et au Japon, il choisit de se tourner définitivement vers une carrière artistique
• Formation à l’École académique de Lille
• Expose à de nombreuses reprises au Salon de Paris, jusqu’à sa mort
• Entré à la commission du musée de peinture de Lille en 1892, il accepte la charge de conservateur général des musées de Lille en 1894 avant de démissionner à la fin de 1895