de Stefan Zweig. 7/10
suivi de « Le joueur d’échecs »
Un classique, il en faut de temps en temps. C’est incisif et dur comme la littérature du début du XXe pouvait l’être. Mais j’ai le sentiment d’être un peu passée à côté du génie de la chose. En tout cas, j’ai lu, bien apprécié et on verra avec le temps si il en restera quelque chose de plus grand.