dans ma vie professionnelle en perspective. Le « directeur » marketing de RCI a été licencié et on m’a proposé sont poste. Mouais. Ce n’est pas le fol enthousiasme, j’ai pas mal de réticences, sur le contenu du job et sur son adéquation avec mes envies. Mais comme tout le monde me le dit, c’est une occasion unique de changement, et pas nécessairement pour pire. Je m’embête tellement dans mon job, ce serait suicidaire de ne pas accepter. Ou pas. Enfin, je crois que je vais quand même aller plus loin dans la négo, voire concrètement ce qu’on me propose comme salaire, 4/5ème ou pas, ancienneté, enfin, package total… Quelque part, c’est vrai que j’aurai moins de temps pour moi au bureau, je devrai travailler plus, mais honnêtement, qu’est ce que j’en fais de tout ce temps? Si au moins j’étais arrivé à écrire ce bouquin, je ne dirais pas mais là, je peux continuer à faire mon site perso, ce n’est pas un motif d’extrême satisfaction personnelle, je m’en rends bien compte.
Donc, conclusion… j’accepte le job. Ça me conviens, tant mieux, je retrouve un peu de motivation et d’envie. Ça ne me conviens pas, tant pis, au pire je me retrouve case zéro, au mieux, ça leur donne une bonne raison de me virer et je suis obligée de me réorienter vers quelque chose que j’ai plus envie de faire, mais avec un peu de moyens pour voir venir. Je n’aurai en tout cas pas 10 occasions de prendre ce virage là.
