c’est pas non plus
pire que d’être au bureau toute la journée quand même. Peut-être ce qui me manque, c’est la radio. Des infos qui changent un peu, des nouvelles idées (parce que les news pour le moment, c’est un peu mono sujet). Et un jour dans l’histoire. Que rien ne m’enpêche d’écouter, mais pas pareil. C’est déjà un peu comme si l’esprit était aussi en confinement, sans envies.
Ceci dit, j’ai trouvé ce matin quelque chose que je cherchais depuis très très très longtemps. Un film, vu dans ma jeunesse, qui parlait de psychologie, de fuite et de souris. Et ce matin au détour d’un article de sciences humaines, L’éloge de la fuite de Henri Laborit, mis en scène dans mon oncle d’Amérique d’Alain Resnais.
C’était ça! Ca m’a autant marqué que l’expérience de Milgram dans I comme Icare. D’ailleurs c’est drôle, les 2 films datent de la même année. Je suppose que ça correspond à l’éveil de ma conscience. En tout cas, ils ont vraiment forgé mon caractère et mes idées!